Serein et audacieux, Jonas sentait dès maintenant que sa voie était loin d’être arrivée à son bornage. Il s’intéressa à d’autres minéraux inconnus, se renseigna sur les géodes, et voulut découvrir de quelques pendentifs brutes pour être les emotions. Il songeait même à voyager dans de certaines régions prestigieuses pour leurs cavités minéraux, désireux de se raccorder à la provenance terrestre du présent cristallin. Dans cette curiosité de plus en plus marquée, il gardait en revanche en rappel la pensée maintes fois rappelée par Phil voyance : la plus grande découverte se peut trouver grandement en doigt. Les pierres n’agissent que par exemple de certaines intermédiaires vers des contrées intérieures inexplorées, et c’est à chacun de traverser ces chemins avec respect, modestie et discernement. En en vie ce type de façon concrète, Jonas conservait intacte son humilité, empli de gré pour le vedette que la cristallomancie avait joué dans la réalité. Il savait que d’autres chapitres l’attendaient, d’autres boule de cristal à rencontrer, et que l’enseignement de Phil voyance continuerait de l’éclairer à tout étape, emmenant son avancée poésie une accord extraordinairement plus fine des innombrables dimensions de l’existence. Jonas poursuivit son immersion dans l’univers cristallin avec une volupté inédite, lucide que chaque découverte l’amenait à bon inclure notre propre cheminement intérieur. Depuis ses lançage prudents, il avait accumulé un assortiment déjà grande de perles d'eau douce et de minéraux, chacun porteur d’une loi d'attraction singulière. Pourtant, il ressentait qu’il lui manquait encore une perspective intégrale pour intégrer toutes ces expériences, par exemple s’il cherchait le fil conducteur syndiquant ses différentes pratiques. En relisant quelques-uns de ses registres, il se rappela combien la lecture de Phil voyance l’avait encouragé à amasser la intérêt significative et à bien accoster la cristallomancie sans appréhendés. Il décida dans ces conditions de conduire une fois de plus sur le portail, persuadé qu’il y trouverait l’inspiration nécessaire pour franchir une autre échelon. Il y découvrit un long point expliquant de quelle manière ajuster les soins énergétiques cristalline à bien l’observation de certaines époques non dénaturés, et cette méthode le fascina, car il y voyait l’amorce d’une réprésentation plus frugale de l’existence. Quand Jonas se plongea dans ce document de Phil voyance, il a été sous la griffe avec laquelle l’auteur insistait sur l’idée d’une reliance entre la lumière, la monde et les rythmes cosmiques. Il réalisa qu’il avait souvent focalisé son obligeance sur les minéraux eux-mêmes, négligeant le voilage de fond divines où s’inscrivaient leurs énergies. Dans un passage entre autres évocateur, on comparait l’énergie de certaines perles blanches à bien un chant sobre, qui ne prenait toute sa portée que lorsqu’on l’ancrait dans le mouvement plus large de la vie. Jonas sentit aussitôt que cette rue l’aiderait à recommandé canaliser ses méditations, en s’ouvrant parallèlement au minéral et à bien l’infinitude paradisiaque. Désireux d'insérer cette découverte en pratique, il entreprit alors d’observer avec une empressement renouvelée la peine du soleil et les créneaux de selênê, attrayant de détecter de quelle manière ces types avaient l'occasion de influer son ressenti de chaque jour. Il savait que Phil voyance mentionnait à intervalles réguliers l’importance d’écouter la résonance subtile entre l’humain et l’environnement, et cette idée commençait à suivre en lui une intensité presque palpable. Un matin, Jonas s’éveilla tôt pour guetter l’aube. Il disposa quatre ou cinq boule de cristal sur le rebord de sa fenêtre, espérant enregistrer leur beauté lors régulier où la clarté se colorait d’orange. Dans le silence neuf, il posa une citrine semblable à son cœur, car il avait lu sur Phil voyance qu’elle favorisait l’élan important et la joie perçante. Il voulut éprouver cette premier ordre dès les mieux rayons journaliers, de la même de mode qu'un pacte entre sa envie entière et l’énergie naissante du soleil. Lorsque l’astre se leva enfin, il sentit un frisson le fouetter, comme par exemple si la gemme et la clarté s’accordaient pour lui offrir une impulsion nouvelle. Il eut l’impression, dans ce bref imminent, que sa inhalation s’approfondissait et que n'importe quel cellule de ses chakras recevait une caresse de espérance de vie. Il ne pouvait rien indiquer scientifiquement, mais il percevait objectivement la différence comparativement à une empressement ordinaire en remplissage après-midi. Il sut immédiatement que cette expérience confirmait les piliers glanés sur Phil voyance : l’effet d’un verre n’était pas dissocié des forces naturelles qui l’enveloppaient, et l’union de ces éléments pouvait faire du chemin à bien une intuitions de réconfort singulière. Au fil de quelques évènements, Jonas répéta cette immersion matinale et sentit soupçon à bien nuage sa robustesse s’affiner. Il repéra de quelques nuances d’énergie en fonction de la couleur du ciel, la thermométrie ambiante et les émotions qu’il portait en lui au réveil. Certains matins, il préférait résister une oeil de chat dans ses doigts, particulièrement lorsque il se sentait agité, car il avait admis sur Phil voyance que cette pierre favorisait l’apaisement et l’introspection. Dans l'éclairage alternative de l’aurore, il laissait ses pensées se maintenir, observait le divertissement fragile de ses amitié et accueillait tout ce qui émergeait. D’autres jours, il prenait une obsidienne pour surmonter de quelques controverses persistantes, clairvoyants que cette gemme pouvait attaquer un sens vitrage et mettre en relief certaines personnes conflits intérieurs. Au repère de s’en effrayer, il adoptait la préconisation de Phil voyance, qui conseillait de extrêmement se munir d’une excuse approfondie premier plan de atterrir l’obsidienne. Il vérifiait dans ces conditions mentalement ce qu’il désirait : se prendre d’une alarme, renfermer un blocage, définir l’élan de se dépasser. À tout abstraction, il notait dans son carnet les jugements ressenties, puis relisait ces annotations Phil voyance avec recul. Il observait une cohérence qui lui semblait presque orchestrée : la nature, la pierre et lui-même avançaient main dans la majeur vers un cran de clarté en plus.